Appel aux artistes • Saison 2023/2024

Appel aux artistes • Saison 2023/2024

Appel aux artistes

Galerie d’art Françoise-Chamard-Cadieux

Date de tombée : 7 avril 2023

Le Centre culturel Aberdeen invite les artistes résidant aux Nouveau-Brunswick à déposer un projet d’exposition d’art visuel et ainsi courir la chance de faire partie de la prochaine programmation de la Galerie d’art FCC. Trois projets seront sélectionnés par un comité de pairs, composé d’artistes professionnels, assurant une programmation diversifiée. 

Les périodes d’expositions sont les suivantes :

  • 24 août au 29 octobre 2023
  • 3 novembre 2023 au 28  janvier 2024
  • 29 mars au 2 juin 2024

Les expositions sont d’une durée de 12 semaines.

Les cachets d’artistes respectent les tarifs CARFAC en vigueur.

 

La Galerie d’art Françoise-Chamard-Cadieux, située au 2e étage du Centre culturel Aberdeen à Moncton, Nouveau-Brunswick, est un espace voué à la présentation des arts visuels et multidisciplinaires. Sa programmation tient compte des tendances de l’art actuel tout en étant pertinente pour son milieu et sa communauté. Le Centre culturel Aberdeen aspire à respecter l’équité dans tous les aspects de l’organisation et reconnaît que les inégalités structurelles existent aussi dans le milieu culturel et artistique. Nous encourageons vivement les candidatures des communautés qui recherchent l’équité, des personnes qui s’identifient comme autochtones, noires, personnes de couleur, personnes handicapées, personnes de la communauté 2SLGBTQIA+ et/ou des personnes vivant des intersectionnalités. 

Vous avez jusqu’au 7 avril 2023 pour soumettre vos propositions. Prière d’envoyer les dossiers en remplissant le formulaire suivant:   https://forms.gle/Y89mg481MSNgLLsC8  

Les dossiers peuvent être remis en français et en anglais. De plus, les soumissions audios seront acceptées. 

Le dossier doit inclure : 

  • le titre et la description détaillée du projet (une page maximum) ;
  • la démarche artistique de l’artiste ou des artistes dans le cas d’un collectif (maximum d’une page par artiste);
  • le curriculum vitæ (maximum de deux pages par personne) des principaux collaborateurs au projet;
  • besoins techniques du projet ;
  • Maximum de huit photos numériques et/ou vidéos d’œuvres identifiées, numérotées et accompagnées d’une liste descriptive.

*Veuillez noter que l’espace d’exposition occupe tout le corridor du 2e étage et que les occupant•e•s, visiteur•e•s et client•e•s du Centre culturel Aberdeen y circulent tous les jours. Prière d’en tenir compte dans le développement de votre projet.

La programmation de la Galerie Françoise-Chamard-Cadieux est rendue possible grâce à la participation financière de la Ville de Moncton, de Patrimoine Canada et du Gouvernement du Nouveau-Brunswick.

La Galerie Françoise-Chamard-Cadieux

Anciennement nommée la Galerie du 2e, la Galerie Françoise-Chamard-Cadieux est inaugurée le 15 avril 2021.

En nommant au nom de Françoise-Chamard-Cadieux, le Centre culturel Aberdeen rend hommage à une grande acadienne qui a consacré sa vie au développement du français et aux droits des femmes en Acadie. Avec la complicité d’Angela Bourgeois et grâce à leur leadership et à leur détermination, une première polyvalente de langue française verra le jour dans la région du Grand Moncton. Françoise sera également du groupe qui militera pour la création au Nouveau-Brunswick du Conseil consultatif sur la condition de la femme et pour l’ouverture d’une première maison d’accueil pour femmes violentées à Moncton. Amoureuse des arts et de la culture en général, le Centre culturel Aberdeen a été pour elle un lieu incontournable de la mise en valeur de la création artistique du Sud-Est du Nouveau-Brunswick.

 

Le Centre culturel Aberdeen reconnaît que la terre sur laquelle il est situé est le territoire traditionnel non cédé des peuples Wolastoqiyik et Mi’gmaq. Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Wolastoqiyik et les Mi’gmaq ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Mi’gmaq et des Wolastoqiyik et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.