Appel aux artistes

Galerie d’art Françoise-Chamard-Cadieux

Date de tombée : 30 avril 2025

Le Centre culturel Aberdeen invite les artistes du Nouveau-Brunswick à déposer un projet d’exposition d’art visuel et ainsi courir la chance de faire partie de la programmation 2025-2026 de la Galerie d’art Françoise-Chamard-Cadieux (FCC). Trois projets parmi ceux reçus seront sélectionnés par un comité de pairs, composé d’artistes professionnel·les de la communauté.

 

Les périodes d’expositions sont les suivantes :

Exposition 1 : 17 juillet 2025 – 15 septembre 2025

Exposition 2 : 20 octobre 2025 – 18 janvier 2026

Exposition 3 : 30 mars 2026 – 18 juin 2026

Le cachet offert respecte le tarif CARFAC en vigueur.”

 

“La Galerie d’art Françoise-Chamard-Cadieux, située au 2e étage du Centre culturel Aberdeen à Moncton, est un espace voué à la présentation des arts visuels et multidisciplinaires. Sa programmation tient compte des tendances de l’art actuel tout en étant pertinente pour son milieu et sa communauté. Le Centre culturel Aberdeen aspire à respecter l’équité dans tous les aspects de l’organisation et reconnaît que les inégalités structurelles existent aussi dans le milieu culturel et artistique. Nous encourageons vivement les candidatures des communautés qui recherchent l’équité, des personnes qui s’identifient comme autochtones, noires, personnes de couleur, personnes handicapées, personnes de la communauté 2SLGBTQIA+ et/ou des personnes vivant des intersectionnalités.

 

“Vous avez jusqu’au 30 avril 2025 pour soumettre votre proposition. Prière d’envoyer votre dossier via la plateforme WeTransfer à l’adresse courriel suivante : [email protected]

 

Le dossier doit inclure :

●  le titre et la description détaillée de votre projet (maximum de deux pages) ;

●  une description de votre démarche artistique ou de votre groupe d’artistes, dans le cas d’un collectif (maximum d’une page par artiste);

●  votre curriculum vitæ (maximum de deux pages par artiste) et dans le cas d’un collectif des autres collaborateur.rice.s au projet;

●  vos besoins techniques pour l’exposition de vos oeuvres ;

● un maximum de dix photos numériques et/ou vidéos d’œuvres récentes identifiées, numérotées et accompagnées d’une liste descriptive.

Prière d’envoyer des documents pdf et d’identifier chaque document avec votre nom complet et le titre du document en évitant les accents et les espaces (exemple : jean-leblanc_cv.pdf) : *Veuillez noter qu’une seule demande par artiste sera acceptée et que les dossiers incomplets ne seront pas évalués.

*Veuillez noter que l’espace d’exposition occupe tout le corridor du 2e étage et que les occupant•e•s et visiteur•euse•s du Centre culturel Aberdeen y circulent tous les jours. Prière d’en tenir compte dans le développement de votre projet.

La programmation de la Galerie Françoise-Chamard-Cadieux est rendue possible grâce à la participation financière de la Ville de Moncton, de Patrimoine Canada et du Gouvernement du Nouveau-Brunswick.”

 

« La Galerie Françoise-Chamard-Cadieux »

Anciennement nommée la Galerie du 2e, la Galerie Françoise-Chamard-Cadieux est inaugurée le 15 avril 2021. En la nommant au nom de Françoise-Chamard-Cadieux, le Centre culturel Aberdeen rend hommage à une grande acadienne qui a consacré sa vie au développement du français et aux droits des femmes en Acadie. Avec la complicité d’Angela Bourgeois et grâce à leur leadership et à leur détermination, une première polyvalente de langue française verra le jour à Dieppe. Françoise sera également du groupe qui militera pour la création au Nouveau-Brunswick du Conseil consultatif sur la condition de la femme et pour l’ouverture d’une première maison d’accueil pour femmes violentées à Moncton. Amoureuse des arts et de la culture en général, le Centre culturel Aberdeen a été pour elle un lieu incontournable de la mise en valeur de la création artistique du Sud-Est du “Nouveau-Brunswick.”

 

Le Centre culturel Aberdeen reconnaît que la terre sur laquelle il est située est le territoire traditionnel non cédé des peuples Wolastoqiyik et Mi’gmaq. Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Wolastoqiyik et les Mi’gmaq ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Mi’gmaq et des Wolastoqiyik et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.